RUE ( OU LA PROMENADE DU MUGUET)

Sieste sonore avec apparitions et disparitions

Écriture et réalisation : Leslie Menahem / Sur scène : Pierre Andrau, Marion Solange Malenfant, Mexianu Medenou, Marie Cousseau / Création Lumières : Jean-Luc Chanonat / Création Sonore : Michael Schaller / Dramaturgie sonore : Samuel Ab / Mixage : Bastien Varigault et Bastien Prevosto / Assistante à la réalisation : Auréline Martino

Avec : Denis Lavant et les voix de Franck Trillot, Belaid Boudellal, Marion Verstraeten, Clarice Plasteig dit Cassou, Guillaume Riant, Nicolas Fantioli, Chantal Petillot, Lison Pinet, Cécile Leterme, Stéphane Valensi, Alexandre Ionescu, Geoffroy Vernin, Alan Costello, Berangère Mac Neese, Marie Nedjar, Lola Roskis Gingembre, César Duminil, Bilal Abdallah, Clemence Bûcher, Alexandre Blazy, Sandra Chartraire, Armand Eloi, Christophe Grundmann, Colette Marie
Rue (ou la Promenade du Muguet) est soutenue par le collectif Synaps Audiovisuel.
Ce projet est soutenu par le collectif Synaps audiovisuel et Stomach Company

Tournée: Spectacle concu pour le Festival Brouillage à la Loge le 4 mai 2016

Diffusions radios et Festivals en 2016 : Emission par Ouï-Dire sur la radio Première RTBF, Festival Longueur d’Ondes à Brest, Festival Mangue ta Grenouille à Prague, Festival Brouillage à Paris, Radio Campus

RESUME

Une voix. Celle de la rue. Elle n’a qu’une parole. Celle composée par tous ceux qui la traversent. Au rythme des pas d’un passant qui parcourt une rue le 1er mai, des conversations s’entremêlent. Futiles. Moins futiles.
Inutiles. Essentielles.Comme dans un long plan séquence, caméra à l’épaule, les pas ralentissent, s’accélèrent, laissant place à l’errance, au voyeurisme, à l’écoute, à l’évidence.
Comme avec un filet à papillons, l’oreille du passant attrape les mots de quelques autres passants, mots qu’il a choisis parmi tous les autres. Mots heurtant, mots doux, mots sales, mots indélébiles, ils sont ceux que notre oreille entend. Rue en rassemble quelques uns pour un voyage à travers une humanité à priori désabusée, mais toujours prête à être émerveillée.